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" Il m’arrive parfois de rêver, de douter, d’abandonner mais malgré les années qui passent, je reviens toujours sur cette route que j’ai tracé." Julien Gaüzère
Rien ne présageait que ce blog allait réinventer ma façon d’écrire et de m’interroger sur l’art. Dans un monde constamment en mouvement, je me devais de surprendre… et cet état de surprise devait commencer par moi même.
Au fur et à mesure, ce petit espace de libertés et de pensées, devenait le poumon de cette vie d’artiste parfois asphyxiante.
Jamais je n’aurais cru que des lecteurs s’attacheraient à mon histoire et à ce rendez-vous.
Dans les chroniques de l'année 2011, je parle de ma relation conflictuelle avec Paris : tantôt haïe, tantôt idolâtrée. De la précarité d’un artiste et des choix quotidiens qui l’accompagnent. De l’amour qui vous habite, vous enivre, vous dévore, vous abandonne et répète cette boucle inlassablement.
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